1992-2012.
Depuis vingt ans j’ai la chance de parcourir le pays d’origine de mon mari, le
Vietnam. Mon dernier voyage date de la semaine dernière et j’étais accompagnée
d’une de mes sœurs. Elle me disait qu’elle avait envie d’aller sillonner les
routes vietnamiennes après avoir entendu parlé depuis tant d’année. Chose
faite. Avec Buffalo Tours, une agence
vietnamienne très efficace, j’ai concocté un parcours du sud vers le centre du
pays. C’est la première fois que je voyage avec cette agence, je voulais
essayer une nouvelle ; pourtant, j’étais toujours très satisfaite avec
Exotissimo. Mais maintenant je peux proposer deux agences, toutes les deux très
efficaces et sérieuses.
Ce voyage était tout de même particulier pour moi ; je voyageais seule avec sœur, guide et chauffeur ; pas de mari qui servait de traducteur. Mais tout allait merveilleusement bien et les quelques mots de vietnamien que je connais entre temps m’ont été très utiles. Même avec mes belles-sœurs je me suis débrouillée toute seule, pourtant, il y a qu’une qui parle un peu l’anglais… On a bien rigolé !
Saigon, la capitale économique du pays ; elle vibre, elle grouille, presque 24h sur 24h. On ne peut pas s’y ennuyer ; rien que d’être assis dans une voiture (ou à l’arrière d’une mototaxi « Xe om ») on ne sait pas ou regarder, tellement il y a du trafic. Observer le trafic ? Mais oui, il faut le voir pour le croire ; ça marche un peu comme une fermeture éclair, peu importe si il y a des feux de circulations. Etonnement, on rencontre que très peu d’accident ou d’accrochage, pourtant, les deux roues frôlent continuellement les carrosseries des voitures (pas forcement en la touchant). Vu la densité du trafic, ils ne peuvent pas vraiment conduire vite, donc, chacun s’enfile comme il le peut.
Pour traverser une route, là aussi il faut « s’accrocher » et oser ! Première règle : NE JAMAIS COURIR en la traversant ; regardez le conducteurs (plutôt les conducteurs…) dans les yeux et avancer lentement. Mais oui, c’est comme ça que ça marche. Aujourd’hui, au centre-ville de Saigon, il y a même une brigade en uniforme « vert caca d’oie » qui sont uniquement là pour aider les touristes à traverser les routes ! Ne refusez pas leur aide, ils sont si fières de pouvoir rendre service.
Puis, deuxième règle très importante, MARCHANDEZ !! Commencez à réduire le montant par la moitié et attendez. Comme dans d’autres pays, c’est presque devenu un jeu, il faut le jouer pour ne pas se faire « traire comme une vache à lait ».
Si vous avez que peu de temps et vous désirez découvrir un maximum, je vous conseille vivement l’aide d’une agence (voir plus haut les noms). Online vous organisez tout avec eux, vous payez et ensuite, plus de soucis. Vous êtes cherchez et déposez à l’aéroport, pris en charge depuis votre hôtel pour tous les tours que vous avez prévu et, pour profiter encore plus, demandez la demi-pension ! Pourquoi ? Ceci vous permettra de déguster des plats locaux que vous n’auriez probablement jamais commandés sur une carte, mais une fois devant vous, vous n’y résisteriez pas ! Je vous assure, l’une comme l’autre des deux agences vous amène toujours dans de jolis endroits avec un bon choix de plats.
Ce voyage était tout de même particulier pour moi ; je voyageais seule avec sœur, guide et chauffeur ; pas de mari qui servait de traducteur. Mais tout allait merveilleusement bien et les quelques mots de vietnamien que je connais entre temps m’ont été très utiles. Même avec mes belles-sœurs je me suis débrouillée toute seule, pourtant, il y a qu’une qui parle un peu l’anglais… On a bien rigolé !
Saigon, la capitale économique du pays ; elle vibre, elle grouille, presque 24h sur 24h. On ne peut pas s’y ennuyer ; rien que d’être assis dans une voiture (ou à l’arrière d’une mototaxi « Xe om ») on ne sait pas ou regarder, tellement il y a du trafic. Observer le trafic ? Mais oui, il faut le voir pour le croire ; ça marche un peu comme une fermeture éclair, peu importe si il y a des feux de circulations. Etonnement, on rencontre que très peu d’accident ou d’accrochage, pourtant, les deux roues frôlent continuellement les carrosseries des voitures (pas forcement en la touchant). Vu la densité du trafic, ils ne peuvent pas vraiment conduire vite, donc, chacun s’enfile comme il le peut.
Pour traverser une route, là aussi il faut « s’accrocher » et oser ! Première règle : NE JAMAIS COURIR en la traversant ; regardez le conducteurs (plutôt les conducteurs…) dans les yeux et avancer lentement. Mais oui, c’est comme ça que ça marche. Aujourd’hui, au centre-ville de Saigon, il y a même une brigade en uniforme « vert caca d’oie » qui sont uniquement là pour aider les touristes à traverser les routes ! Ne refusez pas leur aide, ils sont si fières de pouvoir rendre service.
Culturellement
parlant, il y a que très peu de choses à découvrir à Saigon (officiellement appelle
Ho Chi Minh City, mais je n’arrive pas à l’utiliser…). Mais à la place, il y a
du shopping à faire !! Bien sûr, aujourd’hui on trouve les mêmes enseignes
que dans d’autres métropoles, ce n’est pas de ce genre de shopping que je
parle. Il y a un peu partout de boutiques plus ou moins jolies proposant de l’artisanat
vietnamien, des galeries d’art ou on déniche des copies de grands Maitres et
des créations locales. Mais, Buffalo Tours nous a quand même fait visiter
quelques anciens temples dispersés un peu partout dans la ville.
Le célèbre marché
couvert de Bin Thanh est devenu, à mon opinion, une attrape touristique. Il a
bien perdu de son charme d’antan. Mais, du coup, les allées ont été aérées et
on ne suffoque plus comme avant. Puis, deuxième règle très importante, MARCHANDEZ !! Commencez à réduire le montant par la moitié et attendez. Comme dans d’autres pays, c’est presque devenu un jeu, il faut le jouer pour ne pas se faire « traire comme une vache à lait ».
Si vous avez que peu de temps et vous désirez découvrir un maximum, je vous conseille vivement l’aide d’une agence (voir plus haut les noms). Online vous organisez tout avec eux, vous payez et ensuite, plus de soucis. Vous êtes cherchez et déposez à l’aéroport, pris en charge depuis votre hôtel pour tous les tours que vous avez prévu et, pour profiter encore plus, demandez la demi-pension ! Pourquoi ? Ceci vous permettra de déguster des plats locaux que vous n’auriez probablement jamais commandés sur une carte, mais une fois devant vous, vous n’y résisteriez pas ! Je vous assure, l’une comme l’autre des deux agences vous amène toujours dans de jolis endroits avec un bon choix de plats.