Elles
peuvent vous submerger, vous faire sentir comme dans un tambour d’une machine à
laver ou balayer par une avalanche. Vos réactions peuvent être surprenantes,
imprévisibles.
Pourquoi je vous parle de cela ?
Parce que c’est ce qui est en train de m’arriver. Depuis bientôt une semaine mon cœur et âme sont submergés par les émotions.
Vu comme notre petite famille est géographiquement dispersée sur ce globe, les nouvelles et annonces quelconques nous parviennent à tout moment lors d’une journée de vingt-quatre heures…
Depuis l’hémisphère sud, la cadette fait des consultations médicales avec sa Maman via skype, nous fait part de ses souffrances, joies et soucis etc. Moi, sur l’équateur, combat une grippe ou refroidissement carabiné me clouant au lit, gérant les nouvelles de l’hémisphère sud et restant en contact avec l’hémisphère nord où l’ainée attend son premier enfant pour début septembre.
Mais hier, il y a eu des avalanches émotionnelles à répétition… A peine réveillée, un bref appel de l’hémisphère sud sur mon portable, chose qui n’arrive JAMAIS ! Mon cœur bat la chamade car le message est : « Tél. moi immédiatement sur mon portable argentin »… Panique à bord. « Maman, es-tu assise ? Ton petit-fils est né…. ! » « QUOI ??? C’est trop tôt ! » Mes yeux embués et la gorge serrée, ma cadette m’annonce la naissance prématurée de notre premier petit-enfant. Notre ainée n’a pas eu le temps de nous prévenir ce qui lui arrivait, tout allait trop vite, on a eu connaissance une fois l’enfant arrivé.
Puis, téléphone dans l’hémisphère nord pour appeler la jeune Maman. Elle était toute perdue, toute seule dans sa chambre en attente de nouvelles de son fils qui avait dû être transporté au centre de néonatologie où son Papa l’a accompagné. Je ne pense pas que j’ai besoin de vous décrire en détails ce qui se passait dans mon cœur et mon esprit, je n’en trouverai pas les mots.
Ma tête, lourde comme une, voir deux citrouilles, avait la peine à garder ses esprits et il était et est encore, la seule raison qui m’empêche à sauter dans le prochaine avion pour me retrouver au chevet de ma fille. Maintenant on va laisser faire le temps et ne rien précipiter. Tout le monde est en bonne main et entourés, soit directement ou par les bonnes esprits et tout rentrera dans l’ordre et les retrouvailles seront autant plus émouvantes.
Pourquoi je vous parle de cela ?
Parce que c’est ce qui est en train de m’arriver. Depuis bientôt une semaine mon cœur et âme sont submergés par les émotions.
Vu comme notre petite famille est géographiquement dispersée sur ce globe, les nouvelles et annonces quelconques nous parviennent à tout moment lors d’une journée de vingt-quatre heures…
Depuis l’hémisphère sud, la cadette fait des consultations médicales avec sa Maman via skype, nous fait part de ses souffrances, joies et soucis etc. Moi, sur l’équateur, combat une grippe ou refroidissement carabiné me clouant au lit, gérant les nouvelles de l’hémisphère sud et restant en contact avec l’hémisphère nord où l’ainée attend son premier enfant pour début septembre.
Mais hier, il y a eu des avalanches émotionnelles à répétition… A peine réveillée, un bref appel de l’hémisphère sud sur mon portable, chose qui n’arrive JAMAIS ! Mon cœur bat la chamade car le message est : « Tél. moi immédiatement sur mon portable argentin »… Panique à bord. « Maman, es-tu assise ? Ton petit-fils est né…. ! » « QUOI ??? C’est trop tôt ! » Mes yeux embués et la gorge serrée, ma cadette m’annonce la naissance prématurée de notre premier petit-enfant. Notre ainée n’a pas eu le temps de nous prévenir ce qui lui arrivait, tout allait trop vite, on a eu connaissance une fois l’enfant arrivé.
Puis, téléphone dans l’hémisphère nord pour appeler la jeune Maman. Elle était toute perdue, toute seule dans sa chambre en attente de nouvelles de son fils qui avait dû être transporté au centre de néonatologie où son Papa l’a accompagné. Je ne pense pas que j’ai besoin de vous décrire en détails ce qui se passait dans mon cœur et mon esprit, je n’en trouverai pas les mots.
Ma tête, lourde comme une, voir deux citrouilles, avait la peine à garder ses esprits et il était et est encore, la seule raison qui m’empêche à sauter dans le prochaine avion pour me retrouver au chevet de ma fille. Maintenant on va laisser faire le temps et ne rien précipiter. Tout le monde est en bonne main et entourés, soit directement ou par les bonnes esprits et tout rentrera dans l’ordre et les retrouvailles seront autant plus émouvantes.
Mon sac de
photo attend déjà dans son coin pour immortaliser les premiers moments de
rencontres avec les différents membres de la famille qui arriveront depuis deux
continents vers l’Europe pour accueillir ce petit être déjà tant choyé.
Ah oui, je me disais bien que c'était tôt! bon,j'espère que tout va aller pour le mieux! remet-toi vite en forme pour mieux appréhender tout cela!
RépondreSupprimerque d'émotions en effet!
Courage!
bises
Chrystèle.
Que d'émotions, tu peux le dire.
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