Cette semaine, ça va faire quatre ans que
j’ai fermé notre maison pour m’installer, temporairement, à Singapour avec mon
mari.
Depuis trois semaines je séjourne à nouveau dans notre logement genevois et vu le yo-yo dont se sert la météo helvétique depuis mon arrivée, j’ai eu l’idée de vous décrire quelques différences entre les deux climats. L’un très variable en tout point de vue et l’autre, ennuyeux, la même chose 12 mois sur 12, 7 jours sur 7, 24h sur 24h.
Sous le climat équatorial de Singapour, donc, chaud et très, très humide toute l’année, vos séances chez le coiffeur se multiplient durant l’année, je suis sure qu’on y va deux fois moins souvent visiter Figaro en Suisse.
Le taux d’humidité varie entre 60% et
100% ; quand c’est « sec », c’est 60%. Résultat, votre peau nécessite
à peine une crème hydratante en sortant de la douche et vos ongles poussent à
vue d’œil.
Donc, depuis mon arrivée a Genève, malgré un début plutôt frisquet, ma peau prend un aspect reptilien, est sèche et crie après une hydratation plus que quotidienne ; les ongles se cassent, se dessèchent et ont de la peine à pousser. Le taux d’humidité varie entre 30% et 90% (sous la pluie), ça parle pour soit…
Puis les pieds… Ils n’ont plus l’habitude d’être coincés dans un habit serré, des chaussures ; mes petons se sont élargies, se sont confortablement installés dans les tongs et autres sandales. Tout à coup, pour cause de baisse de température brutale, il faut qu’ils se serrent dans des chaussures fermées ; quel supplice !
Concernant la garde-robe ; facile à Singapour ! Tongs, sandales, shorts et T-Shirts ; que du léger et pour ne pas geler dans les centre commerciaux, prévoir un Pashmina ou similaire. Par contre en Suisse, il vaut mieux avoir, en tout temps, un choix du plus léger au plus couvrant ; donc, les armoires sont pleines à craquer car nous jouissons de quatre saisons ici… Les matins il faut scruter le ciel et le thermomètre pour faire son choix vestimentaire ; verdict, bien plus compliqué, long et couteux qu’à Singapour.
Même sous une belle température estivale de 30 degrés Celsius, mon corps est au repos, ne produit plus des litres et des litres de sueurs, gonfle moins et a bien plus d’énergie. (Mais oui, pas de femme de ménage, ni de voiture à disposition…) Tonte du gazon, taille de la haie, séchage de la lessive en pleine air, etc.
Et, comme j’ai le privilège de passer le mois de juin dans mon pays, je profite des nuits les plus courtes de l’année ! A 22h30 il ne fait pas totalement nuit ! Les soirées se prolongent sur les terrasses et les jardins, on oublie l’heure.
A Singapour, à 19h30 il fait nuit noire et le soleil re-pointe son nez vers 7h du matin, c’est pareil toute l’année ; avec une variation de maximum une demie heure. La température nocturne varie que très peu de celle de la journée, avec juste le soleil en moins. On se sent dans un « hammam » tout le temps, on se traine et l’énergie corporelle est mise sur économie.
Un autre atout durant mon séjour est la nourriture ! Des produits de terroir et de saison, frais, gouteux, n’ayant pas voyageait des milliers de kilomètres avant de se trouver sur les étalages des magasins. Des melons ayant un goût du sud, sucrés, juteux à volonté, hmmm, un vrai régal ! Les fraises, pour l’instant, sont encore trop gorgées d’eau, mais je suis sure que dès la semaine prochaine elles auront un maximum de goût, vu le soleil généreux qui les fait rougir depuis quelques jours. Ça, je dois l’avouer, est une chose qui me manque énormément à Singapour, la fraîcheur des fruits et légumes ; tout est importé, venant des cinq continents ! Ce qui veut dire, traité pour ne pas pourrir durant le voyage, souvent cueillit vert, égal pas beaucoup de saveur.
Depuis trois semaines je séjourne à nouveau dans notre logement genevois et vu le yo-yo dont se sert la météo helvétique depuis mon arrivée, j’ai eu l’idée de vous décrire quelques différences entre les deux climats. L’un très variable en tout point de vue et l’autre, ennuyeux, la même chose 12 mois sur 12, 7 jours sur 7, 24h sur 24h.
Sous le climat équatorial de Singapour, donc, chaud et très, très humide toute l’année, vos séances chez le coiffeur se multiplient durant l’année, je suis sure qu’on y va deux fois moins souvent visiter Figaro en Suisse.
Donc, depuis mon arrivée a Genève, malgré un début plutôt frisquet, ma peau prend un aspect reptilien, est sèche et crie après une hydratation plus que quotidienne ; les ongles se cassent, se dessèchent et ont de la peine à pousser. Le taux d’humidité varie entre 30% et 90% (sous la pluie), ça parle pour soit…
Puis les pieds… Ils n’ont plus l’habitude d’être coincés dans un habit serré, des chaussures ; mes petons se sont élargies, se sont confortablement installés dans les tongs et autres sandales. Tout à coup, pour cause de baisse de température brutale, il faut qu’ils se serrent dans des chaussures fermées ; quel supplice !
Concernant la garde-robe ; facile à Singapour ! Tongs, sandales, shorts et T-Shirts ; que du léger et pour ne pas geler dans les centre commerciaux, prévoir un Pashmina ou similaire. Par contre en Suisse, il vaut mieux avoir, en tout temps, un choix du plus léger au plus couvrant ; donc, les armoires sont pleines à craquer car nous jouissons de quatre saisons ici… Les matins il faut scruter le ciel et le thermomètre pour faire son choix vestimentaire ; verdict, bien plus compliqué, long et couteux qu’à Singapour.
Même sous une belle température estivale de 30 degrés Celsius, mon corps est au repos, ne produit plus des litres et des litres de sueurs, gonfle moins et a bien plus d’énergie. (Mais oui, pas de femme de ménage, ni de voiture à disposition…) Tonte du gazon, taille de la haie, séchage de la lessive en pleine air, etc.
Et, comme j’ai le privilège de passer le mois de juin dans mon pays, je profite des nuits les plus courtes de l’année ! A 22h30 il ne fait pas totalement nuit ! Les soirées se prolongent sur les terrasses et les jardins, on oublie l’heure.
A Singapour, à 19h30 il fait nuit noire et le soleil re-pointe son nez vers 7h du matin, c’est pareil toute l’année ; avec une variation de maximum une demie heure. La température nocturne varie que très peu de celle de la journée, avec juste le soleil en moins. On se sent dans un « hammam » tout le temps, on se traine et l’énergie corporelle est mise sur économie.
Un autre atout durant mon séjour est la nourriture ! Des produits de terroir et de saison, frais, gouteux, n’ayant pas voyageait des milliers de kilomètres avant de se trouver sur les étalages des magasins. Des melons ayant un goût du sud, sucrés, juteux à volonté, hmmm, un vrai régal ! Les fraises, pour l’instant, sont encore trop gorgées d’eau, mais je suis sure que dès la semaine prochaine elles auront un maximum de goût, vu le soleil généreux qui les fait rougir depuis quelques jours. Ça, je dois l’avouer, est une chose qui me manque énormément à Singapour, la fraîcheur des fruits et légumes ; tout est importé, venant des cinq continents ! Ce qui veut dire, traité pour ne pas pourrir durant le voyage, souvent cueillit vert, égal pas beaucoup de saveur.
Conclusion, il y a du bon partout, rien
n’est parfait. Profitons du moment et réjouissons-nous pour le suivant !
En vacances en France en ce moment, je suis tout à fait d'accord avec ce billet! Et difficile de dire au global tel pays est "mieux" car ça dépend sous quel aspect on le regarde à un moment précis. C'est aussi totalement différent de comparer un pays où l'on est en vacances et un autre où l'on vit toute l'année, car on ne va pas être sensible au mêmes choses. Ce qui sera idéal en vacances le sera beaucoup moins le jour où on retourne au pays et vice-versa!
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